Les origines du lacrosse

Contrairement à ce que son nom laisse entendre, le lacrosse ne sort pas tout droit d’un collège britannique.

Ce sport trouve ses racines dans les traditions autochtones d’Amérique du Nord, où il était joué bien avant l’arrivée des Européens. Pour les tribus amérindiennes, c’était plus qu’un jeu. Le lacrosse était souvent utilisé pour régler des conflits, célébrer des rites ou prier les esprits. Autant dire qu’on était loin du match du
dimanche entre copains.

Ce sont les missionnaires français qui lui ont donné son nom actuel, à cause de la ressemblance du bâton avec une crosse d’évêque. Vous voyez, les curés aussi savaient s’amuser.

Les régles de base du Lacrosse

Le lacrosse se joue avec deux équipes qui s’affrontent pour marquer des buts en envoyant une petite balle dans les filets adverses. Mais attention, pas question d’utiliser les mains.

Les joueurs disposent d’un bâton spécial, terminé par un filet, pour attraper, porter et lancer la balle. C’est un peu comme le Quidditch, mais sans balai (et sans sorciers).

Le terrain est généralement en gazon ou en synthétique, et les matchs sont rythmés par des passes rapides, des contacts physiques et des tirs fulgurants. Les équipements incluent des casques, des épaulières et parfois une bonne dose de courage, surtout quand un adversaire lance la balle à 100 km/h dans votre direction.

Les différentes variantes de lacrosse

Le lacrosse n’est pas qu’une affaire de grandes étendues et de passes longues. Il existe plusieurs variantes adaptées à différents terrains et styles de jeu.

Lacrosse sur gazon :

La version classique, jouée à 10 contre 10 sur un grand terrain. Idéale pour les amateurs de stratégies et de courses effrénées.

Box lacrosse :

Une version indoor, très populaire au Canada, qui se joue dans une patinoire sans glace. Ici, tout va plus vite et les contacts sont plus rudes.

Women’s lacrosse :

Une variante avec des règles plus strictes sur les contacts physiques, mais tout aussi intense.

Les avantages d’un CRM pour une association

1. Gestion centralisée des membres et adhérents : Un CRM permet de regrouper toutes les informations des membres en un seul endroit, facilitant ainsi la communication et le suivi des adhésions.

2. Suivi des dons et des financements : Il permet de gérer efficacement les campagnes de dons, d’assurer un meilleur suivi des contributions et d’optimiser les relances.

3. Automatisation des tâches administratives : Grâce aux fonctionnalités de gestion des emails, des rappels et des tâches, les associations peuvent se concentrer sur leur mission principale.

4. Amélioration de la communication : Un CRM facilite l’envoi de newsletters, la gestion des événements et le suivi des interactions avec les bénévoles et partenaires.

5. Analyse et reporting : L’outil permet de générer des rapports précis sur l’activité de l’association, aidant ainsi à la prise de décisions stratégiques.

Comment choisir le bon CRM pour votre association ?

Le choix d’un CRM pour votre association dépend de plusieurs critères spécifiques à votre association. Voici les éléments à prendre en compte :

• Facilité d’utilisation : Un CRM doit être intuitif pour que les bénévoles et salariés puissent l’adopter rapidement.

• Fonctionnalités adaptées aux besoins associatifs : Gestion des adhérents, collecte de fonds, communication, gestion des événements, etc.

• Compatibilité avec vos outils existants : Il doit pouvoir s’intégrer avec vos outils de comptabilité, emailing ou site web.

• Budget : Certains CRM sont gratuits ou proposent des tarifs adaptés aux associations à but non lucratif.

• Sécurité des données : Assurez-vous que l’outil respecte les normes en matière de protection des données (RGPD).

Mettre en place un CRM dans votre association

L’implémentation d’un CRM nécessite une planification minutieuse :

1. Définir les besoins et objectifs : Identifiez les fonctionnalités essentielles pour votre association.

2. Former vos équipes : Assurez-vous que les membres de l’association savent utiliser l’outil.

3. Migrer les données existantes : Intégrez vos bases de données actuelles dans le nouveau CRM.

4. Tester et ajuster : Adaptez l’outil en fonction des retours des utilisateurs.

5. Suivi et optimisation : Analysez les performances et ajustez les processus au fil du temps.

Konsors : une alternative aux CRM pour les associations

Si votre association cherche une solution de gestion complète sans passer par un CRM classique, Konsors est une excellente alternative.

Ce logiciel permet de gérer facilement les données essentielles d’une association : membres, sponsors, événements, contacts et bien plus encore. Intuitif et accessible, il offre des fonctionnalités adaptées aux besoins des structures associatives, simplifiant ainsi l’administration et améliorant l’organisation interne.

Grâce à Konsors, les associations peuvent centraliser toutes leurs informations et optimiser leur gestion quotidienne sans nécessiter une formation complexe.

Conclusion

Un CRM est un atout majeur pour une association souhaitant optimiser sa gestion et améliorer ses interactions avec ses membres et donateurs. Le choix du bon outil dépendra des besoins spécifiques de votre organisation, mais avec les bonnes pratiques, vous pourrez maximiser son efficacité et assurer la pérennité de votre association.

Besoin d’aide pour choisir ou implémenter un CRM ? Contactez notre agence spécialisée en développement de logiciels pour associations !

Mais au fait, c’est quoi un procès-verbal ?

Un procès-verbal est simplement un document officiel qui résume ce qui a été dit, décidé et voté lors d’une réunion d’association. Il sert de preuve écrite des discussions et des décisions, ce qui peut être très utile en cas de conflit ou de trous de mémoire collectifs.

Les étapes indispensables pour rédiger un PV

Prenez des notes sur le vif. La première étape, c’est d’écouter et de noter. Apportez un carnet ou utilisez un ordinateur, mais surtout, capturez les points importants, pas les digressions sur le café qui est trop fort.

Points-clés à noter

La date, l’heure et le lieu de la réunion. Les noms des participants et ceux qui se sont dérobés. L’ordre du jour qui aide à structurer le tout. Les décisions prises : votes, projets adoptés, budgets validés. Les actions à venir : qui fait quoi et pour quand.

Structurez votre PV comme un pro, voici une trame simple mais efficace

En-tête avec le nom de l’association, la date, l’heure et le lieu. Liste des présents : membres actifs, absents excusés et les éventuels invités. Ordre du jour avec les points abordés dans l’ordre prévu. Déroulé de la réunion avec un résumé concis mais précis. Décisions prises avec les détails des votes (à l’unanimité ou à la majorité, par exemple). Actions à venir avec les responsabilités assignées. Clôture de la réunion en précisant l’heure de fin. Signature du président et du secrétaire pour validation.

Gardez un style clair et neutre

Pas besoin de raconter la réunion comme si c’était un roman épique. Allez droit au but. Utilisez des phrases courtes et simples. Soyez factuel. Pas de jugement, même si vous pensez que Jean-Pierre aurait pu s’abstenir de son monologue. Relisez-vous pour éviter les fautes, on sait, c’est la partie la moins fun.

Les erreurs à éviter

Faire un roman. Personne ne veut lire 10 pages alors que la réunion a duré 45 minutes. Oublier les signatures. Sans signature, votre PV n’est pas valide. Zapper des infos clés. Les absents aiment bien savoir ce qu’ils ont raté.

Pourquoi le PV est-il si important ?

Parce que c’est la mémoire de l’association. En cas de litige, c’est votre bouclier. Et soyons honnêtes, c’est aussi très pratique pour rappeler à tout le monde que oui, on avait bien dit que la fête de l’assiette en porcelaine aurait lieu en juin.

En conclusion

Rédiger un procès-verbal d’association, ce n’est pas si sorcier. Avec un peu d’organisation, une trame claire et une touche d’humour pour survivre aux discussions interminables, vous pouvez devenir le Mozart du PV.

Alors, à vos stylos ou claviers.

Et vous, quelle est votre anecdote la plus épique sur un procès-verbal ? On parie que ça implique une réunion qui a débordé sur l’heure du dîner !

Origines et évolution du pickleball

Créé en 1965 sur l’île de Bainbridge, près de Seattle, le pickleball a été conçu lors de vacances en famille par Joel Pritchard et ses amis. Émergeant comme un sport innovant, il a rapidement pris de l’ampleur aux États-Unis. Le nom “pickleball” tirerait son origine de “pickle boat”, un terme maritime désignant un bateau composés d’équipages variés. Cela semble résumer bien l’esprit du pickleball, un mélange passionnant d’influences sportives.

Le concept de jeu

Le pickleball se pratique le plus souvent en double, sur un terrain ayant des dimensions similaires à celles d’un terrain de badminton. Sa spécificité réside dans l’utilisation de raquettes plus larges, ainsi que d’une balle en plastique perforée. Les règles sont simples à assimiler, facilitant ainsi l’inclusion des nouveaux joueurs. Les matchs durent en moyenne 20 minutes et se jouent jusqu’à 11 points.

Un élément clé du jeu est la “zone de non-volée” (ZNV), qui interdit de frapper la balle avant qu’elle n’ait rebondi. Cette règle unique apporte tactique et stratégie, rendant le jeu encore plus captivant. Les adeptes du sport apprécient également l’aspect communautaire du pickleball, qui favorise l’interaction entre joueurs. À noter aussi, le coût d’accès est particulièrement faible, ce qui permet à plus de personnes de découvrir cette discipline.

Le développement en France

En France, le phénomène du pickleball croît rapidement, avec l’émergence de clubs dans de nombreuses régions. Le Tennis-Padel Club argelésien, par exemple, a récemment ouvert un court dédié à ce sport. Cédric Valdivia, président du club, souligne que les raquettes et balles sont mises à disposition pour promouvoir la pratique et encourager la découverte. De plus, les courts peuvent être réservés à prix abordable et sont accessibles à tous les adhérents.

La France peut déjà compter plusieurs milliers de pratiquants de pickleball, encourageant les initiatives locales pour rendre le sport encore plus populaire. Le site de Pickleball France est une excellente ressource pour trouver des clubs et se connecter avec d’autres joueurs. N’hésitez pas à visiter ce site pour en apprendre davantage sur les sessions d’initiation et les événements à venir.

Les bienfaits du pickleball

Le pickleball est plus qu’un simple loisir : il offre de nombreux avantages physiques et psychologiques. Le jeu engage à la fois votre corps et votre esprit, de sorte qu’il est accessible à tous, des enfants de 6 ans aux personnes âgées de plus de 80 ans. En raison de la configuration du jeu, il permet de brûler des calories tout en s’amusant, avec des séances de jeu qui peuvent faire perdre jusqu’à 300 calories par heure.

Fonctionnalités clés d’un logiciel de gestion d’association

Pour répondre aux besoins variés des associations, un outil de gestion associative doit offrir plusieurs fonctionnalités essentielles.

Gestion des membres : profils, adhésions, renouvellements

La gestion des membres est une fonctionnalité centrale. Elle permet de créer des profils détaillés pour chaque membre, de suivre les adhésions et de gérer les renouvellements. Cette fonctionnalité facilite également la communication avec les membres grâce à des options d’envoi de newsletters et de notifications.

Comptabilité et trésorerie : suivi des finances, rapports financiers

Une bonne gestion financière est cruciale pour la pérennité d’une association. Les fonctionnalités de comptabilité permettent un suivi précis des finances, la génération de rapports financiers et la gestion des cotisations. Ces outils aident les trésoriers à assurer une trésorerie saine et transparente.

Communication interne : newsletters, notifications, forums

La communication interne est un autre aspect essentiel. Les outils de communication intégrés, tels que les newsletters, les notifications et les forums, favorisent les échanges entre membres et améliorent la cohésion au sein de l’association.

Planification d’événements : organisation, inscriptions, suivi

L’organisation d’événements est souvent au cœur des activités associatives. Les fonctionnalités de planification permettent de gérer les inscriptions, de suivre les participants et d’assurer le bon déroulement des événements.